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Cécile

3 mai 2012

Degas et le nu

Puvis_De_Chavannes,la Toilette 

La Toilette, Jean-Auguste-Dominique Ingres

 

Femme debout dans une baignoire, Edgar Degasdegas-femme-debout-dans-une-baignoire

 

 


 Femme assise sur le rebord de la baignoire s'épongeant la nuque, E. Degasfemme sur le rebord de la baignoire s'épongeant le cou Degas

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3 mai 2012

Picasso dans l'objectif de Davis Douglas Duncan

picasso _ duncan

18 mars 2012

Berenice Abbott

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abbott-Réfraction des rayons lumineux par un prisme en fonction de l’angle d’incidence initial Phtographe d'une grande variété : simples portraits, études de New-York qui connait des transformations remarquables dans les années 1940-1950, un road-trip à travers les Etats-Unis à la manière de ce que fera Robert Frank dans son ouvrage The Americans quelques années plus tard et puis l'étude de phénomènes scientifiques dans le cadre de la guerre de la Guerre Froide, des photos de phénomènes scientifiques qui deviennent presque abstraites, ce n'est pas tant le phénomène qui nous intéresse mais ses effets sur ces fonds noirs choisis par Abbott. 

berenice-abbott-new-york-at-night_-c-1932

18 mars 2012

MATISSE

la_famille_du_peintre_1911

henri_matisse_the_dessert_harmony_in_red

 

le_peintre_ds_son_atelier_1916

 

 

 

Une redécouverte grâce au musée de l'Ermitage dont les Matisse viennent pour la plupart du collectionneur Chtchoukine dont les oeuvres ont été confisquées durant la révolution de 1917, intégrées par la suite aux collections du musée de l'Ermitage et Pouchkine de Saint Pétersbourg et puis grâce à l'exposition du Centre Pompidou, Paires et séries qui met en regard différentes toiles représentant un même motif grâce à des styles différents, une simplification parfois extrême des traits.

15 février 2012

Dans les rues de la ville il y a mon amour.

gun 

Voilà deux ans presque passés. deux ans passés à toute vitesse, je me rappelle encore le moment crucial de la rentrée de septembre 2010. Le temps passe vite et nous changeons. du moins, j'aime avoir cette impression de changement, je hais cette idée de stagnation, d'immobilité. il est vrai j'ai connu des choses et des gens incroyables ces deux dernières années, j'ai sans doute appris à mieux prendre sur moi; et pourtant. Je me retrouve ici, encore une fois, à me morfondre desespérément car mes choix ne me semblent jamais être les bons.  dois-je ou non dire les choses plus explicitement ? sans doute oui, ou du moins réfléchir à l'impact que ça peut avoir si je ne le fais pas et cette fois-ci, je n'ai pas su le faire, encore une fois semble t'il. je me dis maintenant qu'il faut que je parte heureusement, ça ne saurait tarder mais en même temps, j'aimerais revenir en arrière, exprimer les choses et ne plus regretter. Car évidemment, à ne pas dire les choses, le risque est de regretter, de se décevoir, de se mentir et de se remettre en question. Si cette remise en question est indispensable et nécessaire pour nous permettre d'évoluer, est-elle bonne à n'importe quel prix ? sans doute pas. sans cesse je regrette d'avoir fait de la sexualité un tabou, ou d'avoir fait de la mort un sujet à éviter. Regrets car tant de choses auraient pu être évitées. Je me sens si bête à ce moment-là. Sans doute tout ceci va évoluer et ans doute saurai-je vivre avec au bout d'un certain temps, mais quand ? C'est un peu le genre de moment où l'expression dans laquelle on dit vouloir se retrouver six pieds sous terre est très adpatée, oui, très très adaptée. Alors que j'ai toujours voulu bien faire, être consciencieuse, tout s'écroule en quelques minutes. Me voilà fuyant dans un jour en Russie et tout ceci va rester dernière moi ou plutôt : tout cecic va continuer, se dérouler, sans moi, comme une personne lâche qui ne sait pas être là au moment où il faut ni dire les choses quand il faut. Tout s'écroule et je désespère. durant ces deux ans, j'ai eu l'impression de vivre dans un cocon, un cocon où les obligations étaient nombreuses et pourtant j'ai eu l'impression de continuer à avoir une vie, à voir, à apprendre, à sortir. Mais n'est-ce pas faux ? Ai-je réellement gagner en autonomie, ai-je clarifier mon futur et cesser de nous croire une "jeunesse perdue" sans espoir ni avenir ? Certainement pas, en effet, il ets bien plus facile de se dire "jeunesse perdue", quel moyen facile de se dédouanner de toutes nos fautes, de toutes nos errances et nos malheurs ! Tout cecice est sans doute affligeant, mais que puis-je dire d'autre que "je suis désolée, profondément désolée". Mon amour "est prépondérant sans qu'il y prenne part". J'aurais voulu les protéger, laisser les choses se faire sans que j'ai à agir, leur laisser leur moment d'intimité et de  confessions. J'ai eu tort, affreusement tort mais les choses ont eu lieu, n'est-ce pas ? Tout semble alors être un choix, un choix pour soi et pour les autre; pour le passé, le présent et le futur; pour le matériel et l'immatériel.

Je regrette les impressions et les mots prononcés à une certaine époque, je suis trop excessive. Je ne pèse pas le poids des mots. Je tire trop vite des conclusions et il est bien plus facile de choisir les plus sombres et les plus totales. Ainsi, j'ai l'impression d'un changement, un changement souvent négatif à cause de mes conclusions; je crois alors avoir vite compris, je crois vivre dans quelque chose de clair et de stable. Mais tout ceci est mensonge, rien n'est stable, tout est bien plus mouvant que je ne le pense et il est bien trop difficile de décider l'avenir, l'état des choses et des personnes en un instant.

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3 décembre 2010

girls_in_bed

27 novembre 2010

Le Grand Froid, pénétrant, mordant, saisissant .

6a00d834522c5069e2013488029Le Grand Froid, pénétrant, mordant, saisissant . On y est, la fin d'année, l'hiver . Une baisse de morale progressive mais surtout tout le reste, en commençant par les autres, inexistants .

Mes cernes ne partent plus, mon visage semble s'être creusé. Et tout ça, en un rien de temps, oui tout juste quelques mois pour obtenir un tel changement. Mais il n'y a pas que moi, il y a les autres aussi : leur manière de parler, leur sortie, leur rire, tout cela semble avoir évolué en quelques mois, quelques semaines. Et tout cela parce que maintenant, nous sommes grands, nous sommes des étudiants, pour la plupart des adultes. Alors ça rigole plus, non plus du tout. Mais pourtant, au fond, ni eux ni moi ne savent distinguer le vrai du faux, à savoir : qui sommes nous ?

Aujourd'hui nous perdons une heure, la nuit tombe si vite désormais que l'on croit à 17h qu'il faut aller se coucher. Des images défilent sans cesse dans ma tête, les images d'un avenir incertain et absolument effrayant. Mais que m'arrive t'il ? Les journées passent à une vitesse folle, on s'est à peine levée que ça nous prend à la gorge, oui, toutes ces choses que l'on doit faire nous prennent par surprise, je suis assaillie, je n'arrive plus à prendre le temps. Mes nuits sont courtes, toujours, le sommeil est trop difficile à trouver. Je suis encore perdue, je cherche ma place sans cesse : avec des amis, au musée, avec ma famille. Je ne sais si cela existe vraiment, comme une personne que tu incarnerais toujours, qui susciterait toujours de l'intérêt. Est-ce réllement possible et n'est pas quelque peu réducteur ?

Après quelques jours passés à la campagne, je retrouve la clameur parisienne. Les touristes perdus, les klaxons des conducteurs grosseirs, les jeunes gens errant devant un bar à chicha, les séances de cinéma complètes. Ce retour m'est agréable, pourtant, je sais que c'est aussi un retour au devoir, à mon avenir qui se joue cette année et qui se jouera surtout durant les années à venir.

Revoir ces visages connus, ces personnes avec qui j'ai passé deux voire trois ans quelques instants suffit à me le démontrer : aujourd'hui, il n'y a plus rien, je ne sais quel fossé s'est créé entre nous, ni pour quelles raisons. Mais y en a t'il vraiment ? N'est-ce pas plutôt ça l'amitié et ses aléas, ses évolutions ? Pourtant, il semble qu'entre eux c'est différent, que pour les autres, eux, ils ont réussi. Ils ont réussi, en effet, à garder contact, ils continuent de se voir et de se revoir, leur amitié est toujours, elle ne s'est envolée soudainement comme cela semble être le cas pour moi. Sans doute que je ne le réalise même pas entièrement maintenant parce que les choses m'envahissent, sans avoir aucun impact sur moi pour le moment, mais je ne suis pas sure que cela continue ainsi. C'est comme si ma carapace est telle que toutes les choses ne font que ricocher sans jamais m'atteindre. Est-ce vrai, est-ce réellement vrai ? Je ne sais pas.

31 mai 2010

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10 avril 2010

what new york used to be // how to make it in america // fuck people

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25 mars 2010

Accident_in_Union

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